Au moment de la fondation de Mistwalker, le studio d’Hironobu Sakaguchi cristallise un large faisceau d’attentes au sein des joueurs de jeux de rôle japonais. Ses premiers titres sont annoncés en fanfare, et ce retour à la création du père de Final Fantasy est synonyme d’enthousiasme général, d’autant plus que les autres grands noms impliqués dans ces projets trahissent l’ambition débordante de la jeune société. Blue Dragon et Lost Odyssey rencontrent à leur sortie des critiques mitigées qui leur reprochent de s’appuyer sur des bases bien trop classiques. Pourtant, il serait injuste de ne pas reconnaître dans leur écriture le talent de Sakaguchi pour les intrigues simples mais riches en émotions.
Aussi imparfait soit-il, The Last Story est un titre important. Important pour le jeu de rôle japonais, en premier lieu, puisqu’il sort dans une période où le genre peine à se renouveler. Important, ensuite, pour son réalisateur, Hironobu Sakaguchi, car ce projet est un symbole fort de sa remise en question en tant que figure emblématique du J-RPG.
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